Homo Technologicus
Des organes en trois dimensions sont déjà en train d’être imprimés dans des « laboratoires 3D » aux États-Unis, à l’aide d’un gel biocompatible et de cellules cultivées puis assemblées artificiellement. Cela supprime tout risque de rejet et donne une durée de vie virtuellement infinie à ces organes. Mais quel pourcentage du corps humain pouvons-nous reproduire, transplanter ou remplacer à l’heure actuelle ? Et quel pourcentage peut être réellement remplacé sans risquer de tuer le corps ?